• Son ex-compagnon condamné à 29 ans de prison pour le meurtre de sa fille de 14 mois - Anaëlle Pierre, la mère de la petite Aliya : «Kenny ti merit bokou plis ki sa»
  • Toutes les bonnes choses ont une fin
  • Liverpool : the last one de Jürgen Klopp
  • Manchester City, maître de son fabuleux destin
  • «Sega Tipik A Traver Regar Bann Zenerasion» : un livre-CD pour un nouveau souffle
  • Élection partielle à Montagne-Blanche - Grande-Rivière-Sud-Est - Des observateurs : «une absurdité», «un gaspillage», «une culture de non-transparence»
  • Des coffres-forts et un cadavre !
  • Stewards’ Room : Ubheeram interdit au Champ-de-Mars jusqu’au 30 septembre
  • 3e journée - Betathantherest : toujours plus haut
  • Vice-championne du monde de para-athlétisme - Anaïs Angeline : «C’est le fruit de beaucoup de sacrifices, d’efforts et de travail»

Passion platines

1380007_520022001415761_1178813956_n.jpg

Le jeune homme adore faire danser les foules !

Il a la musique dans la peau. Et sur les platines, ses doigts jouent sur les tables de mixage pour créer un arc-en-ciel de mélodies. Magique ! Nick Henri, plus connu par les clubbers comme Nick Farell, fait danser les amateurs de bonnes vibes dans les boîtes de nuit et dans les soirées. Cette année, le jeune homme de 23 ans fête ses cinq ans de «deejaying». Et il compte fêter dignement cet événement : «Afin de remercier toutes les personnes qui m’ont aidé et qui ont cru en moi.» Il n’en dira pas plus pour l’instant : «C’est une très grosse surprise.» Plus de détails dans quelques semaines.

Cet habitant de Pointe-aux-Sables, également enseignant de Music & Entertainment au JR School à Port-Louis, a une riche histoire avec la musique : «À 14 ans, j’ai été influencé par le succès de la musique hip hop et R&B. Grâce à un ami qui habite près de chez moi et qui venait à l’époque de faire l’acquisition d’une paire de platines.» Une première rencontre musicale qui en présageait d’autres : «J’ai eu la chance de côtoyer et de rencontrer les meilleurs. Ce qui m’a permis de m’améliorer et d’élargir mon répertoire musical.» Du R&B à la house, Nick a affiné son goût pour la musique et sa passion pour le «mix» avant de pouvoir se faire une place dans le monde de la nuit : «Avec les bons contacts et une envie de faire mes preuves, j’ai fait des apparitions en boîte de nuit aux platines à partir de 18 ans.»

Et à force de persévérer, de donner le meilleur de lui-même, il estime qu’il est aujourd’hui «un des meilleurs DJ de la nouvelle génération» : «Grâce aux conseils des anciens, j’ai toujours essayé de m’améliorer. J’ai eu la chance de tomber sur les bonnes personnes quand il le fallait même si j’ai aussi eu beaucoup de déception, mais je n’ai jamais abandonné ni baissé les bras car j’ai toujours pu compter sur le soutien de ma famille et de mes amis.» Et il compte toujours essayer de s’améliorer en 2014 pour le plus grand plaisir de ceux qui le soutiennent.

Sa plus grande fierté : on fait souvent appel à lui pour jouer aux côtés des DJ vedettes de la planète. «J’ai eu la chance d’évoluer dans toutes les meilleures boîtes de l’île, de rencontrer des gens formidables, de côtoyer des DJ internationaux de renom comme Mastiksoul. J’ai aussi eu la chance de voir en live des légendes telles que Paul Oakenfold, Tiesto, David Guetta, Global Deejays.» Le jeune homme se produit, aujourd’hui, dans les boîtes de nuit du nord et de l’ouest de l’île. Et il ne compte pas s’arrêter là. Il a vu l’évolution de ce métier. Et il l’aime : «À mes débuts, je n’avais ni ordinateur ni Internet pour télécharger de la musique. Tous les mois,

je faisais la tournée de tous les disquaires à la recherche de nouveaux sons. De nos jours, tout est virtuel, bien plus sophistiqué et accessible.»

Avec la musique, il vit une belle histoire d’amour : «C’est une belle aventure.» Il a la musique dans la peau…

Archive: