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Commission d’enquête : en attendant la version de sir Hamid Moollan…

Il aurait été le président de la commission d’enquête instituée par l’ex-présidente, Ameenah Gurib-Fakim. Alors, la version de sir Hamid Moollan est attendue de la commission d’enquête. Il sera appelé, le jeudi 6 septembre, à répondre aux interrogations brûlantes : qui a pris contact avec lui et pourquoi il a accepté la requête ? Cette semaine, d’autres témoins ont défilé devant le juge Asraf Caunhye. Notamment le junior de Me Yousuf Mohamed, Me Nadeem Hyderkhan. L’homme de loi a donné sa version de la chronologie des événements et a précisé que l’ex-présidente aurait rédigé cinq des attributions de la commission d’enquête qu’elle souhaitait instituer. Cette dernière s’est déjà exprimée sur la question : elle a dit son ignorance des lois et sa confiance totale en ses hommes de loi, l’avocat Me Yousuf Mohamed et l’avoué Gilbert Noël, pour ce move, qui a pris des allures de coup d’État (elle a démenti qu’il s’agissait de son intention).

 

De quoi s’agit-il ? La commission d’enquête présidée par le juge Asraf Caunhye, instituée sur l’ancienne présidente de la République Ameenah Gurib-Fakim, a pour but d’examiner s’il y a eu violation de l’article 64 de la Constitution, entre autres, dans le sillage de l’affaire Platinum Card qui a mené à la démission de la scientifique le 23 mars. Ameenah Gurib-Fakim s’est exprimée sur la période trouble entourant cette affaire (découlant de ses relations avec le milliardaire angolais controversé, Alvaro Sobrinho, au sein de l’association Planet Earth Institute). Et la mise en place d’une commission d’enquête, sans l’aval du cabinet, pour faire la lumière sur toute cette affaire. Les travaux ont débuté le lundi 6 août. Et c’est à la Cour suprême que les témoins doivent se rendre.