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Call of Duty : WW2 | Retour violent mais rafraîchissant

Du pan pan et du boom boom très soignés au menu guerrier.

On se croirait revenu au bon vieux temps où la franchise talonnait les Medal of Honor. Car comme avec cette dernière, les premiers Call of Duty nous plongeaient en pleine Seconde Guerre mondiale. Et après des épisodes qui adoptaient une approche futuriste – dont un dernier volet carrément spatial – le nouveau Call of Duty fait un gros virage à 180 degrés et décide de nous replonger en pleine guerre contre les nazis. Si le récent Wolfenstein se la joue un peu plus fantaisiste contre les Allemands, Call of Duty : WW2 se veut réaliste, avec un contenu solo, court mais fort et une partie multi-joueurs aux petits oignons, avec un petit côté old school qui n’est pas pour déplaire.

 

 

En solo, on est donc plongé dans une courte campagne (un peu plus de six heures) avec tout ce qu’il faut de destructions massives, de séquences en véhicule où ça va péter de partout et de soldats ennemis à canarder sans relâche. Ce qui est rafraîchissant, c’est que cette histoire solo adopte une vraie approche de camaraderie, non seulement avec des personnages soignés, mais un gameplay qui vous place au centre d’une escouade comme si vous y étiez : la jauge de vie est de retour. Et pour la remplir quand vous êtes blessé, il vous faudra rester proche des medics, qui vous donneront des trousses de soin à emporter ou vous remettront sur pied immédiatement. L’approche devra donc être un peu plus stratégique que dans les précédents Call of Duty (canarder – se mettre à couvert – recanarder), d’autant que les affrontements peuvent être ardus. 

 

 

Le multi n’est pas en reste. Modes classiques – Domination, Search and Destroy, entre autres. Pas de jauge de vie en multi : du pan-pan comme on a l’habitude avec la franchise, avec aussi un système de classe dépendant de votre style de jeu. Sur les dix maps, on sera un peu nostalgique car on se retrouvera avec des fusils d’antan (snipers, fusils à pompe, etc…). Pour les modes un peu plus insolites, on a le Gridirion, un genre de football avec des flingues. Citons aussi le mode War, à six contre six (avec aussi des bots) qui se veut des affrontements épiques. Et si vous voulez du zombie, une carte est disponible où quatre joueurs devront s’allier pour survivre dans un environnement stressant rempli de morts-vivants. La franchise propose donc un retour en arrière plutôt bien foutu, complet, intense, soigné.