On monte sur le ring avec Madhavan. Le thème ressemble à celui de Chak De Indiaou encore d’Any Body Can Danceoù un déchu tente sa rédemption en prenant sous son aile des protégés. Ici, c’est dans le milieu de la boxe que les protagonistes évoluent. Saala Khadoosnous mène à la rencontre d’Adi Tomar qui était à deux doigts de devenir champion de boxe, comme il en rêvait. Toutefois, lors de la finale, il est victime d’une magouille de politiciens auxquels est associé son entraîneur et se voit disqualifié au profit d’un adversaire largement à sa portée.
C’est la descente aux enfers pour lui. Il range ses gants de boxe pour tomber dans l’alcoolisme. Mais ses amis croient encore en lui et le ramènent à la boxe en lui trouvant un poste d’entraîneur de boxe féminine. Sa passion pour la boxe n’est pas encore éteinte en lui. Il rencontre au hasard une jeune femme, poissonnière de son état, qui venait d’envoyer au tapis deux hommes qui l’embêtaient. Une fougue que l’ancien champion tentera de canaliser pour en faire une redoutable boxeuse.
Saala Khadoosest sorti en deux versions en Inde, l’une en hindoustani et l’autre en tamoule intitulée Irudhi Suttru,avec quelques différences au niveau du casting mais c’est bien Madhavan qui joue dans les deux. On retrouve aussi Ritika Singh, Mumtaz Sorcar et Nassar dans la distribution.