On l’avoue, on n’avait toujours pas vu le fameux film de dinosaures à l’heure où nous mettions sous presse. Entre-temps, voici quelques pistes pour vous faire saliver comme un T-Rex affamé.
C’est un retour nostalgique
Plus de vingt ans après le premier film de Steven Spielberg, on retrouve donc l’univers à base d’ADN, de mutations génétiques et, bien sûr, de T-Rex et autres raptors. Au vu de l’émerveillement imposé par le premier film, avec sa musique, ses personnages et ses effets spéciaux, c’est un peu normal que ceux qui l’ont vu entrent en salle avec beaucoup de nostalgie.
Bien sûr, l’histoire a changé (c’est maintenant un dinosaure génétiquement modifié qui sème le chaos dans un parc à dinosaures ouvert et rempli de visiteurs), mais le bestiaire reste toujours rempli de griffes et de crocs.
Les plus jeunes découvriront la franchise
Bon, maintenant, si vous étiez trop jeune pour vous émerveiller devant le film de Spielberg, voilà une bonne occasion d’aller découvrir cette franchise qui semble être le meilleur, juste après le fameux long-métrage de tonton Spielberg.
Le casting est sympa
L’un des gros atouts du long-métrage reste cette bande d’acteurs réunie pour l’occasion. En premier lieu, on retrouve Chris Pratt qui a toujours l’air à la fois rigolo et héroïque en dresseur de raptors. Outre la star devenue sacrément populaire après Guardians of the Galaxy, on retrouvera la très jolie Bryce Dallas Howard, l’Indien Irfan Khan, le caïd de Daredevil, Vincent d’Onofrio, et… Omar Sy !
Un réalisateur expérimenté aux commandes
C’est un inconnu du grand public qui réalise Jurassic World. Colin Trevorrow n’en est pas moins un metteur en scène expérimenté. On lui doit un seul long-métrage sorti en salle, Safety not guaranteed (basé sur une enquête sur une petite-annonce pour un… voyage dans le temps), mais le gars a quand même bossé pour un documentaire du nom de Reality show. Il s’agit d’une incursion dans ce milieu à travers la conception d’une émission de ce genre.
Effets spéciaux
Depuis le film de 1993, la technologie des images de synthèse a évolué. L’on aura à présent des dinosaures encore plus réalistes et donc encore plus effrayants pour certains. Brrr…
C’est le film aux douze records
Jurassic World, c’est quand même du très lourd niveau recette, même pour un blockbuster. Nous parlons tout de même là de records tels que : plus gros démarrage mondial, plus gros démarrage hors USA, plus gros démarrage aux USA, plus gros démarrage en juin, plus gros démarrage pour le studio Universal, film ayant amassé le plus rapidement 200 millions de dollars, plus gros démarrage aux USA en IMAX, plus gros démarrage hors USA en IMAX, entre autres. Ça fait quand même pas mal de démarrages non ?