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[A L'AFFICHE] Un «Gringo» sans flammes

Un casting drôle avec un scénario rigolo.

Cette semaine, on a droit à une comédie abracadabrante à laquelle il ne manque qu’un peu de souffle pour être mémorable. Dommage.

L’industrie pharmaceutique est à l’aube d’un grand boum. Surtout celle qui est décrite dans ce Gringo et qui tient la poule aux œufs d’or avec la commercialisation du cannabis médical. L’enjeu est de taille et, en mission avec les boss, au Mexique, on trouve Harold, employé loyal et naïf. Suite à un concours de circonstances, le voici délaissé par tous, dans une histoire qui le dépasse, avec cartel, tueurs, flingues, bref, un enfer dont il faudra qu’il se sorte.

 

Sur papier du moins, ce Gringo, réalisation de Nash Edgerton (le grand frère de l’acteur Joel) a tout d’un projet capable de faire date : un casting charmant (Charlize Theron, Amanda Seyfried, Joel Edgerton, David Oyelowo et même Paris Jackson, la fille de Michael, entre plusieurs autres) et un scénario qui ne manque pas de péripéties et de situations absurdes. Sur papier on a dit, car à l’arrivée, Gringo nous vient avec un gros problème de rythme.

 

Certes, les acteurs ont l’air de bien s’amuser (chacun a son petit moment de déconnade) mais l’histoire est racontée de façon trop calme et sage, alors que cette aventure devait être complètement folle et déjantée. Le réalisateur Nash Edgerton n’a donc rien d’un Guy Ritchie ou d’un Michael Bay en mode Pain and Gain, et c’est dommage car le scénario s’y prête énormément. Au final, c’est un film mou mais plus ou moins plaisant…