• Parité en politique : des voix pour inspirer le changement
  • Milys.créations : quand Emily transforme vos idées en souvenirs inoubliables
  • Il s’était introduit chez une dame âgée en pleine nuit : un voleur maîtrisé par des habitants à Camp-Levieux
  • Étoile d’Espérance : 26 ans d’engagement, de combat et d’espoir
  • Arrêté après l’agression d’un taximan : Iscoty Cledy Malbrook avoue cinq autres cas de vol
  • Golf : un tournoi caritatif au MGC
  • Le groupe PLL : il était une fois un tube nommé… «Maya L’Abeille»
  • Nilesh Mangrabala, 16 ans, septième victime de l’incendie du kanwar à Arsenal - Un rescapé : «Se enn insidan ki pou toultan grave dan nou leker»
  • Hippisme – Ouverture de la grande piste : les Sewdyal font bonne impression
  • Sept kendokas en formation à la Réunion

À bras ouverts : Bouillons de cultures

Vous avez rendez-vous cette semaine avec une comédie française populaire où il est question d’accueil et de tolérance.

Monsieur Fougerole se veut humaniste. Grande figure de la scène littéraire, vivant une vie de rêve un peu déconnectée du monde, il va accepter un défi sur un plateau télévisé : en pleine promotion de son nouveau livre À bras ouverts,qui parle d’accueil, il affirme en direct être prêt à accueillir des Roms chez lui, juste pour tenir tête à un adversaire qui l’embête. Le soir même, on frappe à sa porte. Ce sera le début d’une longue cohabitation, pas toujours simple.

 

Voici l’histoire de la nouvelle trouvaille de l’équipe de Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ?. Et comme pour ce dernier,le succès populaire devrait être présent pour À bras ouverts, au détriment de la qualité de la production. Le ton est le même : c’est léger et l’humour est basé sur des clichés à la limite du racisme sur la société française. La presse spécialisée s’est en tout cas lâchée sur cette nouvelle comédie avec Christian Clavier : «Un navet (…) qui accumule les clichés nauséabonds - cette fois-ci sur les Roms» (Télérama) ;«Aussi désuet que nauséabond» (Le Monde) ; «Brosser une image aussi détestable d’une communauté déjà largement stigmatisée s’avère d’autant plus choquant que le propos est porté par un réalisateur très populaire» (Le Parisien) ; «Des gags éculés ou totalement à côté de la plaque. Une simple succession de scènes, avec des ellipses qui défient parfois la logique. En un mot : raté» (Première) ; «Pas drôle, à vomir» (Les Inrockuptibles). 

 

À vous de voir maintenant si vous voulez vous y plonger ou pas. On vous aura prévenus.