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Mon Poussin : Le petit pas si petit que ça…

Un ado va être pris en charge par ses parents après une rupture amoureuse...

Une histoire de rupture, de parents, d’ados… de vie quoi. En riant en plus !

Pauvre Vincent ! Vincent va mal, Vincent pleure beaucoup. Bref, Vincent, 18 ans, vient de rompre avec sa petite amie Elina. Son premier amour. Et c’est la fin du monde. Vincent ne vit plus, ne dort plus, pleure, pleure, pleure. Nanye pa bon ! Heureusement qu’il y a ses parents. Le couple met en place, lui-même, une cure de désintoxication amoureuse pour son petit poussin (d’où le titre du film…).

 

Voici la nouvelle comédie de Frédéric Forestier, coupable de comédies comme LeBoulet, Stars 80 et Astérix aux Jeux Olympiques. Un réalisateur qui s’est spécialisé dans des comédies populaires pas toujours très acclamées (au contraire) et qui s’est encore une fois bien entouré, avec les rigolos Isabelle Nanty et Pierre-François Martin Laval (le PEF de la troupe des Robin des Bois) notamment. Et dans le rôle du jeune Vincent, Thomas Solivérès, star montante que l’on a déjà vue dans Intouchables et qui prendra les traits de Spirou dans le prochain film du même nom

 

À l’écran, cela donne quelque chose de léger, de pas tout le temps très inspiré (certains gags font plus mouche que d’autres) et parfois un peu grossier (une scène de battle un peu particulière). Le résultat fait penser à un produit plus calibré pour les jeunes qui, eux, préféreront aller voir l’homme-araignée ou les Transformers, qui écrasent le poussin niveau popularité.