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Watch Dogs 2 : L'âge du piratage

Maxime Le Forestier se demandait où se trouvait San Francisco. Voici que la ville américaine s’allume pour Watch Dogs 2, suite d'un premier volet moyen mais qui avait le mérite d'offrir un nouvel univers rempli de possibilités. Place donc à du piratage informatique dans un monde ouvert, avec un gameplay peaufiné et un ton plus léger. Prenant, sans être parfait.

 

Vous voici donc dans la cité américaine sous les traits de Marcus qui intègre un groupe de pirates informatiques, intitulé DedSec. Dès les premiers moments, le ton est moins froid que dans le premier volet, avec tout ce qu’il faut d’humour et de cynisme. Jurons, vannes, nisa, cela donne un vrai ton à l'ensemble, caricatural par moments.

 

N'empêche, la mayonnaise prend. Merci au gameplay peaufiné par rapport au Watch Dogs premier du nom. Le joueur sera en terrain connu : la carte se présente google map style, les références à la pop culture (films, séries, musique) sont fréquentes, application, uploads, imprimantes 3D, bref, c’est un vrai paradis de geek. Heureusement, UbiSofta compris que ça ne suffisait pas : place au gameplayfun.

 

Dans la ville ouverte, vous pourrez hack des téléphones, des voitures, assommer des gens, pirater des serveurs pour mettre de faux avis de recherche, faire voler des drones afin d’accomplir des missions sans vous déplacer physiquement, sans oublier des infiltrations et autres tâches plus physiques et rebelles (Parkour, fusillades, etc.). Tout cela pour faire avancer l'histoire principale et faire grimper la popularité du groupe de pirates, deux objectifs-clés du jeu.

 

Les missions secondaires, souvent scénarisées, ne sont pas en reste : courses de véhicules (bateaux, drones), anticipation de crimes, escalades pour placer des tags de DedSec. Il y a de quoi faire, de façon plus fun et rapide que dans le premier, et vous pourrez finir des missions de plusieurs manières, dépendant de votre créativité et du large éventail de possibilités offertes, plus élargi et complet par rapport au prédécesseur.

 

Le tableau n'est pas parfait : les sauts ne sont pas toujours convaincants, la conduite est améliorée mais reste toujours approximative. L’on note aussi un souci de clipping sur les éléments du décor. Mais rien de bien rageant : plongez dans cette ville vivante pour des moments de hacking fun, avec ce volet supérieur au premier.