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The Witcher 3 : aventure avec un grand A

Plein d’endroits à visiter, et plein de monstres à tuer !

Et si c’était le plus grand role-playing game (RPG) jamais conçu ? C’est en tout cas ce que les studios de CD Projekt ont voulu faire avec le troisième volet de The Witcher, nouvelle adaptation vidéoludique des romans de l’écrivain polonais Andrzej Sapkowski. On peut dire, après les premiers tests venant de la presse spécialisée, qu’on tient là l’un des meilleurs jeux de l’année.

 

Ayant la lourde tâche de venir après deux excellents prédécesseurs, The Witcher 3, sous-titré The Wild Hunt, nous propose une intrigue principale où un vieillissant Geralt va se mettre à la recherche d’une femme dont il était jadis très amoureux et… de leur fille. Pas de monde à sauver ni de rois assassinés. The Witcher troisième du nom contient une quête principale plus intimiste et proche des écrits de Sapkowski. Mais comme dans tout bon RPG, la quête principale n’est qu’une partie d’un plus grand ensemble.

 

Car The Witcher 3 est immense et beaucoup, après près de 100 heures de jeu, avaient encore plein de choses à découvrir sur l’énorme monde ouvert, parmi l’un des plus beaux dans un jeu vidéo du genre. Et les développeurs ont été encore plus ambitieux en soignant chaque quête annexe, donnant ainsi la sensation que chaque quête est unique. Tout cela est, de plus, aidé par les personnages non joueurs que vous rencontrez ou les monstres, souvent de taille bien intimidante, tous soignés, avec un travail d’écriture des plus remarquables au niveau des dialogues, des personnages et de leurs motivations ou de la mythologie du bestiaire et des lieux visités.

 

Le soin est aussi apporté avec un gameplay plus dynamique et ergonomique que le précédent Assassin of Kings, qui péchait un peu de ce côté-là : le système de confection de potions a été revu (vous pouvez même en faire en pleine bagarre) et on note des combats encore plus dynamiques et gore (vous allez décapiter pas mal de gens). Sans oublier l’ajout de chevaux et de bateaux.

 

Bien sûr, il y a l’aspect visuel. C’est beau, sacrément beau. Tellement parfois que la PS4 rame un peu avec autant de textures, de particules, de personnages, etc., à gérer. Ce qui nous amène aux bémols de The Witcher 3, tellement énormes visuellement que l’on a droit de temps en temps à du clipping sur les décors et les textures qui apparaissent un peu en retard, et quelques ralentissements de temps à autre.

 

Mais ce n’est rien comparé à tout ce qui est bien dans The Witcher 3, jeu à l’ambition folle, long, épique, accessible, soigné, passionnant, passionné. À coup sûr, un achat obligatoire sur PC, PS4 et XBOX One.