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«L’exorciste du Vatican» : Gladiator pouss diab !

Le voici qui s’amène sur son scooter ! Eh non, il n'est pas question, ici, d’un film d’action mais d’un énième représentant d’un autre genre très prisé : le film de possession ! Car, dans L’exorciste du Vatican, on retrouve ce bon vieux et rondelet Russel Crowe dans le rôle du père Gabriele Amorth – une personne qui a réellement existé –, ancien exorciste en chef du Vatican. 

Ce film d’épouvante s’inspire des mémoires du père exorciste, qui a écrit deux livres dans le passé, devenus des best sellers, d’où le tagline qui veut nous faire peur : inspiré de faits réels.

 

Mais à l’arrivée, cet Exorciste du Vatican reste un film de possession plus ou moins décent, sans plus. Rien de bien neuf au programme : le tout se regarde comme une série B, avec quelques moments de sursaut, le fameux possédé qui bouge de façon saccadée et qui saute partout, les doutes des prêtres, etc., avec même un final infernal à ravir les fans des jeux vidéo Diablo. C’est vous dire qu’on est plus dans le grand-guignol que dans le film d’horreur éprouvant qui donne des cauchemars…

 

Il n’y a que Russel Crowe qui sorte du lot au final et donne de l’épaisseur à ce personnage de prêtre un peu rebelle mais très acharné dans ce qu’il sait faire : pouss diab. Personnage que l’on devrait revoir, car il semble qu’un deuxième volet tout aussi remuant vient d’être mis en chantier, vu le joli petit succès de ce premier volet concocté par Julius Avery, connu pour des films plus musclés comme The Samaritan avec Stallone ou le plus gore Overlord.