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En avant pour la Semaine sainte

Les Mauriciens de la communauté catholique s’apprêtent à vivre un moment fort de ce temps de carême. Aujourd’hui, dimanche 10 avril, marque la fête des Rameaux et ouvre la Semaine sainte qui précède la fête de Pâques qui sera célébrée dimanche prochain. Le dimanche des Rameaux rappelle l’arrivée de Jésus à Jérusalem, accueilli par la foule qui brandissait des rameaux pour l’acclamer. Dernière partie du carême catholique, la Semaine sainte est un temps de recueillement destiné à commémorer la Passion du Christ. Tout au long de cette semaine, les fidèles vivront des moments forts comme le Jeudi saint, jour du dernier repas de Jésus avec ses disciples, le Vendredi saint, marquant son arrestation et sa mort sur la croix. Puis, viendra la veillée pascale, mettant fin à 40 jours de carême, et finalement le dimanche de Pâques, marquant la résurrection du Christ et le jour où les chocolats sont partagés. Une fois de plus, après deux ans de pandémie, les célébrations se feront dans le cadre des restrictions sanitaires.

 

Dans sa lettre pastorale, le cardinal Maurice Piat rappelle que, comme Jésus, nous devons agir avec le cœur, œuvrer pour la justice, la paix et l’harmonie sociale, principalement en ces temps de crise. «Un peuple est une réalité vivante, fruit de la rencontre d’éléments disparates, une réalité qui naît et grandit dans les luttes, les rencontres et les difficultés partagées au long d’une histoire commune. Un peuple peut avoir des désaccords, des différences profondes, mais il peut aussi marcher ensemble à partir du moment où ceux qui le composent entendent l’appel d’un destin commun et décident de vivre ensemble. Or, cette décision n’est possible que si elle repose sur un socle de valeurs fondamentales telles que le respect de la dignité de la personne humaine, l’amour de la liberté, la démocratie, le sens de la justice et de la solidarité, la défense de la famille, etc.»

 

Pour le cardinal Maurice Piat, il est temps de s’élever au-dessus des intérêts particuliers, politiques, économiques ou culturels, et de donner la priorité au bien commun.