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Alexandrine Belle-Étoile : confidences d’une… star

La jeune femme est apparue dans Vogue Philippines avec ses copines de Miss Universe.

Scintillante, brillante… Avec un tel surnom, Alexandrine Belle-Étoile devait s’attendre à briller (et à voir naître des multiples jeux de mots sur sa voie… lactée !). La Miss Universe Mauritius est rentrée, il y a quelques jours, de son aventure à Miss Universe qui s’est tenu aux USA (elle y était depuis le 17 décembre dernier). Et la jeune femme de 25 ans, artiste et enseignante, n’est pas passée inaperçue lors de ce beauty pageant. La page Missology estimait, même, qu’elle pourrait figurer parmi le Top 10 ; comme à Miss Supranational, concours auquel elle a participé en 2022. Même si cela n’a pas été le cas, Alexandrine a kas pake et a été remarquée. D’ailleurs, elle est apparue dans Vogue Philippines aux côtés de la Miss Universe fraîchement élue. Aujourd’hui, explique-t-elle, sa vie de Miss s’arrête : «Elle a été remplie de surprises et de challenges que j’ai vécus avec beaucoup d’amour.» Avant qu’elle ne lâche totalement l’écharpe, nous avons voulu apprendre à la connaître… différemment. Extraits d’une conversation, pleine de fous rires, avec une… belle étoile. 

Mon plus beau souvenir d’enfance. «Il y en a tellement. Mais si j’ai besoin d’en choisir un, je prendrais celui-là ; on allait tous les dimanches à Belle-Mare parce que la famille avait un petit business de location de bateaux. Les oncles, les tantes, les cousins et les cousines ; tout le monde était réuni. Ça a créé un lien et une histoire familiale incroyables. Je devais avoir entre 6 et 7 ans, et je me souviens de ces moments avec les cousines sur la plage, à jouer, à rigoler. Mais aussi de ces incroyables tours en bateau…»

 

Ma musique d’ado. «Fin d’école primaire, début de collège, j’étais à fond Hannah Montana ! Je connaissais toutes les chansons, toutes les répliques de la série télé par cœur. Après, entre 15 et 19 ans, les choses ont un peu changé ! J’étais plus reggae – Alborosie, Gentleman, Groundation et, bien sûr, Bob Marley – et classic rock. Metallica, Nirvana… Tous les classiques de la musique rock.»

 

- Et aujourd’hui ? «Pas de style en particulier mais l’afrobeat cartonne pas mal ! Et j’écoute beaucoup de morceaux made in Moris.»

 

- Votre tube du moment ? «Je n’ai pas été à Maurice ces dernières semaines comme vous le savez, donc je suis un peu déconnectée, mais je dirais Ti Mamzel d’Ejilen Faya, Donovan Bts et Yohan.» À (re)découvrir ici, si vous le souhaitez : https://bit.ly/timamzel.

 

Mes parents. «Éric et Ginette Belle-Etoile ; lui à la retraite (il était assistant Farm Manager) et elle, prof au pré-primaire. Papa est un bon role model ; il a toujours fait de façon à ce que nous apprenions à être indépendants ma sœur, mon frère et moi. Débrouillards, quoi ! Maman, ça a toujours été la personne la plus compréhensive. Elle est aussi très créative, je pense que je tiens ça d’elle.»

 

Ma plus grande «folie». «Ah, il y a beaucoup de choses à raconter. Je suis quelqu’une de très intrépide ! Mais je vais dire ce qui me passe par la tête : enfant, je devais avoir 5 ans, j’ai décidé de me couper les cheveux moi-même. À la nuque. Alors que j’avais d’assez longs cheveux. Je me suis pris une fessée monumentale. Inoubliable !»

 

- Au collège, vous avez eu des detentions ? «Comme presque tout le monde, oui ! Souvent pour ne pas avoir complété mes devoirs. Et une fois, je m’en souviens, parce que mon uniforme était un peu trop court.»

 

- Quel collège ? «J’étais au LCQB.»

 

- La question qui n’a pas pris une ride : Saint-Joseph ou Saint-Esprit ? «Je dirais Saint-Joseph !»

 

Mon type d’homme. «Intelligent, avant tout. Qui sait ce qu’il veut. L’âge ne compte pas vraiment. Quelqu’un qui partage les mêmes valeurs que moi, qui sait faire la part des choses. C’est tout. Je ne suis pas très compliquée, non ?»

 

- Et vous l’avez trouvé ? «Non… C’est que ça ne doit pas être si simple…»

 

Enfant, mon dessin animé préféré. «J’aimais beaucoup Titeuf.»

 

Ma bouchée parfaite. «Diri blan, kari poul, satini pomdamour et salade de concombre, carotte et laitue ; c’est mon ti manze prefere. C’est mon papa qui prépare ça le mieux. C’est sa spécialité du dimanche.»

 

Mes dimanches. «Nous sommes une famille très croyante et pratiquante, alors le dimanche matin, c’est la messe. Ensuite, petit déjeuner, on se retrouve pour parler de la semaine, profiter du dernier jour du week-end. Et parfois, l’après-midi, je sors avec mes amis.»

 

Mon meilleur moment pour être à la plage. «Entre 16 heures et 17 heures, il ne fait ni trop chaud, ni trop froid ; c’est idéal pour se poser. En plus, on se prépare pour assister à de magnifiques couchers de soleil.»

 

Ma formule-décompression. «J’aime beaucoup sortir le vendredi ; voir des amis, rencontrer des gens. Avec mon meilleur ami, on fait souvent des soirées karaoke au Big Willy’s ou au Irish.»

 

Ma pensée positive au concours. «Retrouver ma famille et mes amis à Maurice. Passer les fêtes sans eux, ça a été dur, très dur. Alors, c’était ma motivation.»

 

- Est-ce qu’une Miss, ça peut sortir sans maquillage ? «Ça m’arrive quelques fois, oui ! Surtout après ce mois de concours ; être maquillée tous les jours, ça agresse la peau. Donc, je la laisse respirer.»