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Fifty/Fifty à Pailles le 4 mai : Quand Franck Dubosc se raconte sous le soleil mauricien

Il connaît bien notre île car il y vient souvent. C’est d’ailleurs chez nous qu’il a écrit une partie de son film Tout le monde debout. Vous l’avez deviné, on parle ici du réalisateur du film en question : Franck Dubosc himself ! Selon ses propres aveux, c’est à chaque fois avec grand plaisir qu’il retrouve l’île Maurice… Que ce soit pour se ressourcer, pour passer de bons moments avec sa petite famille, pour se créer d’autres souvenirs ou pour… écrire, en lien avec ses futurs projets. Et c’est dans le cadre de l’hôtel Royal Palm, à Grand-Baie, que nous l’avons rencontré le mercredi 24 avril, à une semaine de son spectacle Fifty/Fifty, le 4 mai au Centre Swami Vivekananda, à partir de 20 heures.

 

Chapeau vissé sur la tête – «Parce que j’ai les cheveux pourris», avoue-t-il –, polo, short, pieds nus et l’humour chevillé au corps, c’est un Franck Dubosc fidèle à lui-même qui a reçu la presse pour parler du show qui évoque son rôle de papa, l’homme qu’il est, bref, sa vie, aux côtés de Rama Poonoosamy d’Immedia qui produit le show à Maurice. Amical, accessible, l’humoriste, acteur et réalisateur a accepté avec décontraction et le sourire aux lèvres de répondre à toutes les questions, lui qui ne cache pas être un véritable amoureux de notre île. «S’il y a bien une chose que je ne rate jamais quand je suis à Maurice, c’est de manger les cœurs de palmiste. Ça, c’est une chose que tous les Français qui reviennent de l’île Maurice essaient de retrouver en France. On croit toujours le retrouver mais on ne retrouve jamais le même. Quand j’arrive, je demande tout de suite ma salade de cœur de palmiste», nous confie-t-il.

 

S’il mange bien chez nous, il ne cache pas non plus avoir eu un coup de cœur pour les Mauriciens. «J’aime revenir pour retrouver la mer, le soleil, mais surtout la gentillesse. La vraie gentillesse, pas la gentillesse feinte, exprès, juste parce qu’on est des touristes, on nous accueille bien. Je pense que le Mauricien a dans le sang un gène spécial. Et tous ceux qui viennent ici, pas que les Français mais les gens du monde entier, sont accueillis avec un sourire et ils aiment en parler. Aujourd’hui, les gens se parlent tellement peu, ils se disent tellement peu “je t’aime” que ça fait encore plus plaisir de voir des personnes avec un tel sens de l’accueil. Et c’est ce que j’aime retrouver quand je reviens à Maurice», ajoute Franck Dubosc.

 

Cette fois, c’est aussi pour présenter son show Fifty/Fifty. Et c’est avec plein d’amour qu’il parle des séquences du spectacle qui fait beaucoup référence à ses enfants Raphaël et Milhan. Mais quel genre de papa est-il ? «Si vous demandez à mes enfants, ils vous diront, certes pas exactement dans ces mots, que je suis un papa chiant. J’ai toujours peur qu’il leur arrive quelque chose. Je suis un papa gâteau. L’amour d’un père pour ses enfants, c’est quelque chose que je ne connaissais pas avant. Quand on ne l’a pas vécu, on ne peut pas savoir ce que c’est. Je suis un papa très heureux et très fier, et il n’y a rien que j’aime plus que mes enfants : Raphaël et Milhan (NdlR : 8 et 6 ans respectivement)», nous répond-t-il.

 

En attendant de retrouver le public mauricien samedi prochain, l’humoriste a tenu à faire un petit coucou à ses fans : «À ceux qui m’aiment à l’île Maurice, je vous dis : merci. Merci de me suivre d’aussi loin. C’est la moindre des choses que je vienne enfin moi, un peu, ici. Je vais essayer de ne pas attraper un coup de soleil. Je vais vous rendre le soleil que vous m’apportez. Je vais essayer de vous donner beaucoup de rires. Je vous attends le samedi 4 mai de pied ferme», conclut-il, du soleil dans la voix. 

Les prix des billets en vente à travers le Rezo Otayo se déclinent comme suit : Gold - Rs 1 700, Premium - Rs 1 250, Silver - Rs 1 200, Standard - Rs 900, Bronze - Rs 700. Une promo price est aussi disponible sur MariDeal.mu.