• Boxe thaï : première édition de «La Nuit des Nak Muay»
  • Badminton : les Internationaux de Maurice à Côte-d’Or
  • Trois univers artistiques à découvrir
  • Handicap et vie professionnelle : un pas de plus vers l’inclusion
  • Mayotte au rythme des crises
  • Une rare éclipse totale traverse l’Amérique du Nord : des Mauriciens au coeur d’un événement céleste spectaculaire 
  • World Thinking Day : les guides et la santé mentale
  • Mama Jaz - Sumrrà : prendre des risques musicaux avec le jazz
  • Karine Delaitre-Korimbocus : Kodel, une nouvelle adresse dans le paysage de Belle-Rose
  • Oodesh Gokool, le taximan attaqué au couteau : «Mo remersie piblik»

Terminator : Dark Fate | Tue robot, tue !

Un casting connu, vieillissant, mais quand même toujours décidé à affronter les machines du futur !

Arnold, Sarah Connor et plein d’autres reprennent du service pour un nouveau volet rempli de machines et de grosses bagarres. Pas de super grande finesse mais du musclé et de l’explosif !

Au Mexique, les choses n’ont pas trop changé depuis Terminator 2. Il y a toujours un super cyborg de la mort qui a voyagé dans le temps (la machine à tuer, le Terminator) pour venir tuer quelqu’un qui est appelé à jouer un grand rôle dans la résistance futuriste. Dans ce volet Dark Fate, le sort s’acharne sur une ado qui sera heureusement aidée par une super-femme cyber-boostée et aussi une Sarah Connor vieillissante (l’actrice Linda Hamilton), qui semble avoir un allié lui aussi vieillissant et plutôt musclé et populaire.

 

Fort du premier Deadpool, le réalisateur Tim Miller (qui adore les machines, puisqu’il est l’un des instigateurs de l’anthologie sur Netflix Love, Death + Robots) veut kas dan ta en nous offrant un film qui ne lésine pas sur les scènes d’action un peu folles, tout en étant respectueux de l’esprit des deux premiers volets. On peut donc être rassuré avec un long-métrage fun et qui ne devrait pas être une insulte pour les fans.

 

En même temps, c’était difficile de faire pire que Terminator : Genisys… Le papa de la franchise, le réalisateur James Cameron, semble avoir pris les choses en main, s’attelant au récit de ce sixième film Terminator, qui se veut comme une suite directe de Terminator 2 : le jugement dernier, oubliant les moins mémorables Terminator 3 et Terminator Salvation. De quoi raviver plus ou moins la fibre nostalgique à grands renforts de boom boom !