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Zelda : Breath of the Wild | De la très grande aventure

Le monde de Hyrule n’a jamais été si beau, si grand… En tout cas, Nintendo a vraiment frappé fort avec le jeu de lancement de sa nouvelle console, la Switch. C’est simple, quasiment toute la presse spécialisée est unanime à dire que ce Zelda : Breath of the Wild est l’une des plus belles aventures de la franchise et l’un des meilleurs jeux en monde ouvert de ces dernières années, tout en ne dénaturant rien du style Zelda. 

 

Il est toujours question de l’intrépide Link et de la princesse Zelda, même si la narration reste moins structurée et linéaire que dans les précédents et récents volets. Link se réveille donc après un sommeil de plus d’un siècle. Le monde dans lequel il se trouve est dévasté. Un vieux gars lui explique alors qu’il est sur un plateau et qu’il devra récupérer des trésors pour ensuite se rendre dans le grand monde d’en bas et savoir ce qui se trame. Vous devinez qu’on plonge après ce tutoriel épique dans un monde ouvert avec la découverte du monde d’en bas. 

 

Mais alors là, encore plus ouvert. Ouvert est justement le mot qui sied le plus à Breath of the Wild. Tout est disponible du premier coup, pas besoin d’unlock quoi que ce soit. Vous faites ce que vous voulez : exploration du terrain, de donjons, en plus de la quête principale. On parle ici de plus d’une centaine d’heures si on veut tout explorer, tellement c’est grand ! 

 

Et Link dispose ici d’un large éventail de possibilités. Breath of the wild intègre un système d’armes jetables. Tout se casse :  boucliers, épées, etc. Il faudra donc souvent ramasser sur le terrain les armes de vos ennemis. Et quand on prend en compte des éléments comme l’eau et le feu, il faudra user de votre créativité pour mettre à mal vos ennemis et pour explorer comme il faut, d’autant que la barre de stamina de Skyward Sword refait son apparition. Sinon, c’est avec plaisir qu’on retrouve cheval, glissades sur boucliers et mini-deltaplane.  Quant aux donjons et leurs boss, le level design des jeux Zelda trouve encore ses lettres de noblesse, avec toujours ce bon équilibre entre l’action et le puzzle. 

 

Techniquement, c’est super beau, surtout en Full HD (que du 720p sur la tablette tactile de la Switch), même si on notera des ralentissements quand il y a trop de personnages à l’écran. Aussi à noter : du clipping (objets qui apparaissent que quand on s’approche). Cependant, tout ceci est bien peu devant l’immensité et la diversité des environnements proposés. Forêts, montagnes, neige, désert, tout est là ! Chaque lieu a une patte visuelle propre. Que dire aussi de la direction artistique du titre, aux petits oignons, nous plongeant dans un univers avec un style propre. Les panoramas sont souvent sublimes, avec tous ces détails (mouvements de l’herbe, le vent, la météo) qui rendent vivant ce Hyrule de toute beauté.

 

Vous savez donc quoi prendre si vous voulez acheter une Switch. Par contre, il est conseillé d’attendre encore un peu pour voir si d’autres jeux indispensables sortiront par la suite. Car ce serait frustrant d’investir dans une nouvelle console pour jouer à seulement un jeu, aussi extra soit-il…

 


 

Switch : de sacrées ventes mais des bugs qui agacent

 

En toute logique, la curiosité et le buzz Breath of the wild ont payé. À l’heure où nous mettions sous presse, la nouvelle console de Nintendo s’était écoulée à plus de 105 000 unités rien qu’en France, selon Le Figaro, dépassant le chiffre d’autres consoles trois jours après leur lancement (90 000 pour la PS4 par exemple). Ailleurs, c’est encore mieux : on parle de plus de 360 000 unités aux USA, et plus de 330 000 au Japon, selon le site Famitsu.

 

Ah, par contre, la prudence est de mise, puisque des internautes ont fait ressortir pas mal de bugs. On note donc : des pixels morts sur la tablette tactile, des rayures qui ne peuvent partir et qui se font en glissant la tablette dans le dock, et un déjà fameux écran bleu, encore sur la tablette tactile. Cet écran bleu se pointerait sur la tablette tactile et dès lors, c’en serait fini de la console, qu’il faudra donc remplacer. Des problèmes isolés, on l’espère bien…