• La jalousie amoureuse : quand ça va trop loin…
  • Disparition du vol Malaysia Airlines MH 370 : c’était il y a 10 ans...
  • 13es Jeux d’Afrique : «Moris casse paquet» avec 25 médailles
  • Laura Mooneesamy : quand Gold Models va d’aventure en aventure
  • Accidents fatals : quatre familles pleurent leurs proches partis trop tôt
  • «Ratsitatann» : un pièce mauricienne/malgache pour «enlever le flou»
  • The Two : explosion de blues créole bientôt
  • Un jeune couple crie à la négligence médicale après le décès de son nourrisson - Kimy et Julien : «Deziem tibaba nou perdi par fot lopital»
  • Maurice vs Tchad : le Club M compte sur le soutien de son public
  • Agression mortelle à Cité Mangalkhan - Læticia Laviolette : «Lion Vibe ti deza menas mo konpanion Damien»

Injustice 2 : bons combats super héroïques

L’équilibre est bien trouvé. Depuis la semaine écoulée, on peut savourer le deuxième volet d’Injustice, qui met en scène, dans des combats, une foule de personnages de l’écurie DC Comics (Batman, Superman, Arrow, The Flash, etc.). Un deuxième opus supérieur sur plusieurs points à l’original, qui trouve une bonne balance entre gameplay accessible et technique, fan service et customisation. Du tout bon jeu de combat de la part de NetherRealm Studios, papas de la saga Mortal Kombat.

Fight ! 

 

Injustice 2 ne change pas la donne, en nous plongeant dans un jeu de baston man-to-man, sauf qu’en mettant en scène des super-héros de l’univers DC (une bonne trentaine au total !), le tout prend une tournure destructrice et souvent délirante. On note donc un système de combats qui inclut le bon vieux mano a mano (coups de pied et de poing), des armes et des superpouvoirs. Et manette en main, on se sent tout puissant avec un gameplay direct, avec des coups qui sortent facilement mais qui, en regardant de plus près, se révèle beaucoup plus technique et dense. Le combat inclut aussi un système appelé Clash, une sorte de mini tug-of-war où il faudra user de votre jaugue de remplissage du bas (le supermeter !) pour gagner de la vie ou en enlever, par exemple. Bref, il vous faudra pas mal de temps pour maîtriser tout ça. 

 

Multiverse

 

Et pour parfaire vos techniques et maîtriser les combos et aptitudes propres aux personnages, bienvenue dans le multiverse qui propose des combats aux objectifs remaniés et avec des environnements modifiés, avec des changements tous les jours ! Certes, certains diront que ça ne sert à rien s’ils pratiquent dans un mode arcade plus classique mais le multiverse est l’endroit idéal pour glaner des points et de la monnaie, et s’acheter desitems pour booster votre personnage et/ou le rendre plus joli à regarder. Il y a un grand nombre d’items propres à chaque personnage, et vous allez passer du temps à combattre pour bien les customiser, comme dans un RPG avec du levelling up. 

 

Du solo

 

Les fans de DC Comics vont bien aimer revoir un mode story soigné comme dans le premier volet. Reprenant les mêmes bases et continuant l’histoire du jeu de 2013 (adapté d’un arc narratif présent dans les comics), on nous invite encore à une intrigue un peu spatio-temporelle, où les super-héros sont parfois méchants, où tout est sombre mais où l’espoir est bien là avec des alliances qui se font et se défont. 

Et dès que ce mode est conclu, vous pouvez aller vous amuser sur le multiverse ou profiter d’un multi lui aussi tout aussi sympa. 

 

Du multi 

 

C’est une vraie petite communauté qui se mettra en place avec ce Injustice 2. Si ce n’est du one on one classique, le jeu vous permettra aussi de constituer une équipe de trois personnages avec modifications pour les faire entrer dans une sorte de ladder. Encore mieux, vous pouvez même les faire combattre en tant qu’intelligence artificielle (c’est-à-dire sans les contrôler, et même en étant offline) dans des combats IA contre IA ou contre d’autres joueurs. 

Sinon, il vous reste toujours les combats à deux avec deux manettes sur la même console et le même écran. Ce qui reste peut-être l’élément le plus fun de tout jeu de combat !  

 

Joli 

 

On finira par un aspect technique soigné, qui cultive un bon sens du détail, que ce soit dans les costumes des personnages ou les décors propres à l’univers DC. Le tout tournant à 60 images par seconde, sans trop faiblir. Un ravissement pour les yeux et pour les fans, d’autant que les super techniques envoient du lourd avec destructions massives, voyages cosmiques et catastrophes naturelles. Du gros délire maîtrisé quoi !