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Pourquoi attendre «Wonder Woman» ?

La super amazone de DC Comics s’amène avec fouet et musique tonitruante le 30 juin dans les salles du MCiné. Voici de bonnes raisons de se plonger dans ce film comic book qui risque de kas pake.

De quoi ça parle déjà ?

 

Si vous n’avez pas suivi toute l’histoire de Wonder Woman, sachez que c’est une amazone qui vivait dans son royaume sous le nom de Diana. Un personnage créé en 1941 par William Moulton Marston. Dans le film, tout est bouleversé lorsqu’un pilote américain (Chris Pine, le récent capitaine Kirk du reboot de Star Trek) s’écrase sur son île. Suite à cela, Diana s’implique dans la Première Guerre mondiale où elle découvre et déchaîne ses super pouvoirs, tout en faisant face à de redoutables ennemis. Un film stand alone pour le personnage, avant que la super femme ne rempile dans Justice League qui sortira, lui, en novembre. Un futur long-métrage qui réunira Wonder Woman, Superman, Batman, The Flash, Cyborg et Aquaman. 

 

Nouveau souffle 

 

Nouvelle époque, plus gros moyens, film plus dans les normes actuelles. Bref, c’est le renouveau pour le personnage. On sera donc bien loin de la série de 1976 avec Lynda Carter, devenue culte au fil du temps avec un charme rétro qui demeure indéniable. Dans cette nouvelle production Wonder Woman,il y aura plus de grosses explosions numériques, de super travellings avec des super bagarres et des super ralentis dignes du cinéma de Zack Snyder (Batman vs Superman, 300), mettant bien en valeur la beauté guerrière de Gal Gadot.

 

Gal Gadot 

 

Celle-là, elle crève l’écran ! Certes, on a vu Gal Gadot tout en beauté mais un peu maigrichonne dans la franchise Fast and Furious mais elle a mis tout le monde d’accord en s’imposant dans Batman vs Superman,avec un super thème musical à l’appui. Certes, Gal Gadot ne nous a pas encore démontré qu’elle peut gagner des Oscars mais une chose est sûre : elle s’impose par sa présence physique tout en force et en énergie féminine. Bref, on ne voit qu’elle, et on ne va pas s’en plaindre ! 

 

… et de la Girl Power 

 

Attention, Gal Gadot n’est pas l’unique cheville ouvrière féminine de ce Wonder Woman. La Wonder Woman derrière Wonder Woman, c’est Patty Jenkins. Un nom qui ne vous est peut-être pas familier mais une réalisatrice de talent en tout cas : c’est elle qui a fait grossir Charlize Theron et lui a donné un rôle en or et oscarisé dans Monster. Theron y jouait le rôle d’une femme meurtrie et meurtrière. Donc, en termes d’histoire de femmes, Jenkins s’y connaît. On verra donc si la femme super héroïque lui sied bien. 

 

Et comme bonus, citons Robin Penn, ici à des années-lumière de son rôle de first lady de la série House of Cards. Dans Wonder Woman,elle va faire parler les poings en sortant les dents. Et paf !