• Mama Jaz - Sumrrà : prendre des risques musicaux avec le jazz
  • Karine Delaitre-Korimbocus : Kodel, une nouvelle adresse dans le paysage de Belle-Rose
  • Oodesh Gokool, le taximan attaqué au couteau : «Mo remersie piblik»
  • Arrêté pour vol et possession d’objet volé - L’avocat Akil Bissessur affirme : «Mo ena kamera ki demontre tou»
  • Un conducteur ivre tue un motocycliste de 63 ans, à Haute-Rive - Rita, l’épouse de Harryduth Ghoorbin : «Mo misie pann resi trouv figir nou deziem ti zanfan»
  • Concours de beauté - Priyadarshi Dowlut : une Miss mauricienne en croisière
  • Moi, Ansley, ma passion pour la déco, mon combat contre le cancer et ma rage de vivre
  • Trois ans après le décès de 11 patients de l’hôpital de Souillac : le cauchemar des dialysés se poursuit
  • Le MSM s’active - Pravind Jugnauth à Camp-Ithier : «Il faut de la continuité et de la stabilité»
  • Opposition : une alliance fragilisée qui veut convaincre malgré tout

Pan : ça, c’était avant…

De la magie et pas mal d’action dans le monde imaginaire avec Peter, Barbe Noire et un jeune Crochet pas encore capitaine.

Si les jeux de la faim vous laissent sur votre faim, les prémisses d’une histoire bien connue et un peu imaginaire vous tendent les bras…

Et si on nous racontait comment était Peter Pan quand il était petit ? Et si on racontait sa rencontre, surprenante, avec celui qui allait devenir le capitaine Crochet ? C’est un pitch de départ des plus intéressants que nous propose le Pan de Joe Wright, qui place l’histoire de Peter à l’époque où ce dernier arrive dans le monde imaginaire pour la première fois, bien avant qu’il ne rencontre Wendy, la fée Clochette et tout le tralala. Dans ce prequel de l’histoire archi connue de Peter Pan, on découvre le méchant Barbe Noire incarné par un Hugh Jackman ténébreux qui crie beaucoup.

Et Joe Wright est toujours du genre inspiré – on parle tout de même du réalisateur des excellents Reviens-moi et Anna Karenine, tous deux très élaborés en termes de mise en scène –, avec cette fois un budget des plus confortables, et il a l’air de s’amuser comme un gosse avec cette production démesurée. Le côté conte de fées est respectée, avec tout ce qu’il faut de grand spectacle (grosse bataille navale dans les airs, entre autres), de sirènes, de gens qui s’envolent, et de magie, pour un voyage survitaminé avec un trop-plein d’énergie qui donne à ce Pan l’allure d’un gosse hyperactif.